En période de sevrage de traitement, je lui indique avoir des effets secondaires à l'arrêt (entre autres, une reprise de douleurs chroniques), sans pour autant avoir envie d'annuler le sevrage.
Il me rétorque que j'ai une "ambivalence irrationnelle envers la chimie" et qu'il ne peut rien pour moi. Autrement dit, il me lâche dans la nature en pleine période de sevrage.
Commet donc des fautes professionnelles, à éviter.